En ces temps de climat malade, de richesses mal réparties, de conflits inépuisables, et d’obscurantisme, la révolte passe par les mots, par les récits que les faiseurs d’histoires racontent, les points qu’ils assènent en s’écorchant l’âme et en élargissant la blessure

 

On ouvre l’abri à celles et ceux qui créent et parfois luttent avec leurs mots.

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Ils doivent nous accompagner, partout. Nous libérer, tout le temps. Nous faire respirer, toujours. Ne jamais disparaître. Éviter le pire, les rues sombres, et les dédales embrumés.